En cette période de vacances, en cette fin d’année scolaire, je veux vous partager ce poème anonyme souvent repris.
Ce poème n’est ni un texte biblique, ni une étude théologique sur la femme.
C’est une simple métaphore qui met en avant tous « les rôles » que peuvent endosser les femmes dans leur journée.
C’est une illustration des doutes qui malgré tout, les habite.
C’est un petit clin d’œil et beaucoup de bienveillance pour tout ce qu’elles portent, tout ce qu’elles souffrent et tout ce qu’elles oublient.
Et ce n’est certainement pas non plus une apologie de leur supériorité, ni une revendication féministe.
Mais, c’est un vrai et beau regard sur le sens profond de la féminité.
Alors un seul mot d’ordre pour l’été, aimons la créature merveilleuse que nous sommes, profitons de ce temps de repos pour se poser, se réjouir, prendre soin de soi et profiter de tout ce que notre Seigneur nous donne.
Que Sa joie habite et habille nos cœurs !
« Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse (…). »
Psaume 139 : 14 (Semeur)
Quand Dieu créa la femme…
Lorsque Dieu a créé la femme, il a travaillé tard ce sixième jour.
Un ange passe par là et lui demande : « Pourquoi passer autant de temps pour elle ?»
Dieu répond : « As-tu vu toutes les spécifications que je dois respecter pour la façonner ?
Elle doit fonctionner dans toutes sortes de situations.
Elle doit pouvoir embrasser plusieurs enfants en même temps, avoir une étreinte qui peut guérir n’importe quoi, d’un genou meurtri à un cœur brisé.
Elle doit faire tout cela avec seulement deux mains.
Elle se soigne elle-même lorsqu’elle est malade et peut travailler 18 heures par jour. »
L’ange est impressionné : « Seulement deux mains… impossible ! Et c’est le modèle standard ?»
L’ange s’approche et touche la femme.
« Mais tu l’as rendue si douce, Seigneur. »
« Elle est douce », dit Dieu, « mais je l’ai rendue forte. Tu ne peux pas imaginer ce qu’elle peut endurer et surmonter.
« Peut-elle penser ?» demande l’ange.
Dieu répond : « Non seulement elle peut penser, mais elle peut raisonner et négocier. »
L’ange touche ses joues.
« Seigneur, il semble que cette création a une fuite ! Tu lui as imposé trop de fardeaux.
« Elle ne fuit pas… c’est une larme », corrige Dieu.
« Pourquoi ?» demande l’ange.
Dieu dit : « Les larmes sont sa façon d’exprimer son chagrin, ses doutes, son amour, sa solitude, sa souffrance et sa fierté. »
L’ange en est très impressionné.
« Seigneur, tu es un génie. Tu as pensé à tout. Une femme est vraiment merveilleuse !»
Dieu dit : « En effet, elle l’est.
Elle a une force qui étonne l’homme.
Elle peut affronter les problèmes et porter de lourds fardeaux.
Elle est porteuse de bonheur, d’amour et de convictions.
Elle sourit quand elle a envie de crier.
Elle chante quand elle a envie de pleurer.
Elle pleure quand elle est heureuse et rit quand elle a peur.
Elle se bat pour ce en quoi elle croit.
Son amour est inconditionnel.
Elle a le cœur brisé lorsqu’un proche ou un ami meurt, mais elle trouve la force de continuer à vivre. »
L’ange demande : « C’est donc un être parfait ?»
Dieu répond : » Non. Elle a un défaut… elle oublie souvent ce qu’elle vaut. »
Auteur anonyme
» Son maître lui dit : C’est bien, bon et fidèle serviteur ; Tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître »
Matthieu 25 : 24
Bonnes vacances et bon repos à toutes !
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